La magie d'Harry Potter
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 Une histoire a compléter

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Licorne magique
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MessageSujet: Une histoire a compléter   Une histoire a compléter EmptyJanvier 29th 2007, 04:52

Je ne sais pas ou je devais y mettre, mais c'est une petite surprise que je décide de vous faire, ca a été inventé de toute pièce, mais dites moi ce que vous en pensez franchement.
Je compte en faire une grosse histoire.

Il fait noir, je ne vois rien, un bruit de moteur m’apparait comme tout près dans ma tête. J’entends la pluie marteler une sorte de plaque métallique, les flaques d’eau passant sous des roues. J’ouvre un œil, une unique couleur blanche m’apparait, ca y est je suis au paradis, je suis mort, mon existence aura été bref. J’ouvre le second œil, un mal de tête surgit, je suis encore tout flasque, je tourne la tête de gauche à droite, tout est blanc.

Quelqu’un me donne une petite tape, et d’une voix douce, me dit :

« Ca y est, tu es réveillé »

Je me tourne vers elle, une fille blonde habillé en blanc apparait devant moi, enfin plus exactement à ma gauche, puis 2 autres personnes se trouvent dans cette espèce de boite en métal. Une fille brune, au regard un peu fou d’âpres ce que je vois de mes yeux somnolents, et un garçon, seul dans son coin, prononçant des phrases incompréhensibles :

« Ca va arriver, le jour où je redeviendrai celui que j’étais, va arriver »

On est tout habillé en blanc, j’en déduis donc qu’on va au même endroit. Mais quel endroit ? Il n’y a aucune fenêtre, on est confiné dans un espace petit, mi éclairé, mi sombre, je n’ai aucun souvenir de pourquoi je suis la ?

« Ou va-t-on ? » demandai-je

« Tu ne sais pas ? A l’asile de Matonne. »

L’expression de mon visage se figea. Un asile ? Mais je ne suis pas fou, je cohabite avec des fous, je me décalai brusquement de 3m a ma droite, collé contre la double porte de ce qui a l’air d’un camion.

« N’aie pas peur, je ne te ferais aucun mal, je suis Maellyss, et je suis pas folle »

« Euh… Enchanté, je m’appelle Jérémy, mais tout le monde m’appelle Ghiza, donc appelle moi comme telle. »

Elle a surement du entendre un tremblement dans ma voix, je ne suis pas rassurée et ca se devait surement se voir, je fixais les deux autres compagnons, toujours silencieux, et le garçon continuait a prononcer la même phrase :

« Ca va arriver, le jour où je redeviendrai celui que j’étais, va arriver »

« Tu sais ce qu’il veut dire ? » demandai-je a Maellyss

« Pas du tout, je ne les connais pas »

Et elle se passa les mains dans les cheveux. Un court temps était passé jusqu'à ce que le camion s’arrête, la double porte s’ouvre en grinçant, et le chauffeur dit d’un ton sec :

« On est arrivé, descendez !! »

Je descendais le premier, suivi de Maellyss, de la fille, et du garçon étrange. La fille était attachée aux mains, et elle était la seule à avoir 2 gardes autour d’elle. Nous marchâmes sur une route, puis après quelques secondes un cri d’une femme retentissait derrière moi :

« Lâchez moi, je ne veux pas y aller ».

C’était la fille au regard fou qui se débattait pour se débarrasser de ces gardes. Elle mordit le garde a sa gauche jusqu’au sang, et se retournait et commença à courir dans le sens inverse de notre direction, elle courait comme une furie, malgré ses mains attachés, elle était très agile, et assez rapide. Elle était rentrée dans un état de folie grave, a mon impression. Elle fit quelques dizaines de mètres, avant de se faire plaquer violemment par un garde, le corps de la fille tomba lourdement sur un début de chemin boueux, salissant sa tenue blanche et propre de résident. Les gardes la ramenèrent vers nous, et on repartit en direction d’une grille avec des tours de guet sur les cotés.

Le portail s’ouvrit, et un gardien assez fort en corpulence s’avança vers nous :

« Bonjour mes petits, je me présente je suis Reddino, je suis le gardien en chef, de cette asile, je vous souhaite bienvenue a l’asile de Matonne, qui sera votre résidence, pour au moins une année, pour les cas les moins fous. Pour les autres, il se tourna vers la fille folle, il faudra surement plus qu’une année pour vous guérir ». Et il délivra un petit sourire mesquin.

« Très bien merci les gars, je les prends en charge maintenant, suivez moi mes petits, vous verrez, on va très bien s’entendre »

On marcha tous derrière lui, deux gardes nous suivaient, toujours pour surveiller, si quelqu’un ne pourrait pas tenter une ultime évasion, mais tout le monde se tint a carreaux, et marchèrent en silence.

L’asile vue, de l’extérieur ressemblait a une prison, des grands bâtiments blancs, déjà ancien, cela se voyait par la qualité des murs, avec des fenêtres, tous de la même taille, et carrés, alignés sur trois étages. Entourant ses bâtiments, de grandes grilles métalliques, avec des barbelés, mis surement pour empêcher les évasions de certains résidents. Le temps était plutôt frais, la pluie en biais, me martelait le visage, comme si c’était des pierres que je recevais, je sentais que des regards étaient braqués sur moi, qu’on nous observait.

Malheureusement j’avais raison, des dizaines de résidents tous habillés en blanc, étaient dehors, nous observant, certains groupes même, chuchotaient entre eux, disant surement des choses pas très agréables a notre sujet, rien qu’a cette idée, mon corps se mit a frémir de peur. Ce n’était pas tout, je levais les yeux au ciel, comme pour chercher de l’air, et aux fenêtres, des têtes plus ou moins aux regards fous, nous observaient.

Je me sens pas a ma place, pensait-je, pourquoi m’a ton envoyé ici ? Mes parents ? Tant de questions auxquelles je n’avais aucune réponse.

Reddino nous conduisait vers une porte, marqué « Directeur », il frappa a la porte, et une voix féminine lui répondit

« Entrez ».

Reddino poussa la porte, et nous entrâmes dans une pièce plutôt de taille moyenne, mais qui sentait le neuf, un beau bureau en chêne massif s’offre devant nous, et une petite tête de femme, avec des lunettes se trouvait derrière.

« Bonjour à tous, je suis Mélusine, directrice de l’asile Matonne depuis maintenant 3 ans, si vous avez des soucis lors de votre séjour, c’est à moi qu’il faut s’adresser, et a personne d’autre. Cet asile sera votre nouveau foyer, vous avez une chambre chacun, les garçons et les filles sont séparés. Vous êtes aussi classés selon les degrés de folies, il y a 3 catégories : les personnes malades mais pas folles, les personnes qui montrent des signes de folies, mais qui ne le sont pas forcément, et enfin les personnes atteintes de folie aigüe. Malheureusement, cette dernière catégorie de personne risque de rester dans cette asile un sacré bout de temps, voire ne jamais en ressortir. Voila je pense que j’ai tout dit pour le moment, si vous avez des questions, n’hésitez pas ».

Elle se tut et attendit, mais aucun son ne vient.

« Je vois vous avez peur, ne vous inquiétez je ne mords pas, bon je laisse le soin a Reddino et a ses gardes de vous emmener, dans vos étages respectifs, et dans vos chambres. Reddino je vous les laisse ».
Et nous ressortîmes dehors, et le jour commença a s’en aller.

Le ciel était orange, on ne voyait plus que un demi soleil, pointé a l’horizon. Reddino ouvrit une autre porte, et j’entrais dans un autre monde. Un mélange étonnant, entre le silence des résidents, drogué aux médicaments, et les cris déchirants de certains résidents, se faisant trainer comme des chiens, hors du réfectoire. On se croirait presque dans un film d’horreur, aussi silencieux qu’un cimetière.

« Pour le moment, ne regardez pas trop cette endroit, vous allez y passer un bon petit moment lors de votre séjour. Si longtemps que vous vous voudriez le quitter » dit Reddino.
Et il lança un petit rire froid.

Et on traversa la piece, sans jeter des regards incessants sur le spectacle habituel de l’asile. Nous rentrâmes de nouveau dans une nouvelle salle, sauf que la, c’était des escaliers avec des ascenseurs, et six gardes qui nous attendaient.

« Je vous laisse ici, ces messieurs vont vous accompagner dans votre chambre respectif, je vous souhaite une bonne nuit ». Et Reddino lança un dernier sourire glacial.

« Maellyss, Ghiza, suivez moi, 3e étage, chambre 254 et 255 » lançait un des gardes. Et on suivit les 2 gardes, dans l’ascenseur. Pendant qu’on attendait l’ascenseur, un autre garde appela :

« Lerrone, avec moi, 2e étage, chambre 457 ». Et le garçon étrange s’avançait, en marmonnant des bribes de phrases incompréhensibles. Tandis que la porte de l’ascenseur s’ouvrait, un des autres gardes criait :

« Miss Jedusor, suivez nous, et prenez garde, faites pas une nouvelle tentative d’évasion, 1er étage chambre 42. ». Et la fille s’avança, avec un sourire moqueur, qui ne présageait rien de bon.

L’ascenseur se referma avec nous et les deux gardes, et commença sa montée au 3e étage. L’ascenseur faisait un bruit de roulis rouillé, et grinçait. D’un ton pas assuré, je me risquai :

« Excusez-moi ? »
Les gardes se retournèrent lentement avec une mine antipathique

« Je voulais savoir à quoi correspond le 3e étage ? ». Ils hésitèrent et l’un dit :

« C’est l’étage pour les résidents malades mais pas atteint de folie, le 2e étage correspond a ceux qui ont des signes de folies, mais qui ne sont pas forcément fous, et bien entendu le 1er étage correspond a ceux qui sont totalement fous ».

J’allais passer un an dans un asile alors que je ne suis pas fou, mais malade. Mais malade de quoi ? Je suis en pleine forme j’ai 19 ans, je suis en bonne santé, il y a une semaine, j’étais chez moi avec mes amis, et me voila aujourd’hui dans un asile en compagnie de fou. Le temps de me poser toutes ses questions, l’ascenseur s’arrêtait, et nous sortîmes en direction de nos chambres respectives.

« Vous voila dans vos chambres a tout les deux, installez vous, et descendez en bas prendre le repas, et vos médicaments ». Et les gardes repartirent en direction de l’ascenseur. J’ouvris ma porte, Maellyss fit de même, elle m’esquissa un sourire :

« A tout a l’heure », et rentra dans sa chambre.

Ma chambre était tout ce qui était de plus normal, des murs gris, avec une fenêtre avec des barreaux dessus. La porte d’entrée avait une petite fenêtre, où l’on pouvait voir juste la tête des gardiens, un lit d’une seule place, avec des draps d’un blanc impeccable plié en carré sur le lit. Une commode en bois, ressemblant a une table de nuit, où je pouvais ranger mes effets personnelles. Même pas de placard, et une petite lumière au plafond pour éclairer la pièce. Avec le reflet du mur, l’ampoule brillait, et donnait une luminosité plutôt orangé, comme le soleil couchant.

Je posai mes affaires, et m’écroula sur le lit , les mains derrière la tète scrutant pensif le plafond blanc, mais sali par l’humidité qui régnait dans l’asile
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MessageSujet: Re: Une histoire a compléter   Une histoire a compléter EmptyMars 1st 2007, 05:01

Bon voila la suite, je compte continuer encore aujourd'hui:

Mes yeux étaient lourds, et tout doucement je me mis sur le coté, et m’endormit tranquillement.

Un bruit sourd me réveilla, je sursautais de mon lit, et en balbutiant je répondis :
« Oui ? »
« Debout, petit déjeuner !!! ». C’était un gardien qui frappait comme un sourd.
« Oui j’arrive merci ».

Je me levais, j’avais dormi si longtemps, que je n’avais même pas mangé hier soir, est ce que c’est important ? Vais-je être puni pour ca ?

Je descendais au réfectoire avec ces questions en tête. Je poussai la porte, et partirent en direction des plateaux repas,

« Hé Ghiza que fais tu ? ». Je me retournais, Reddino m’interpellait.
« C’est par ici d’abord, a la file comme tout le monde ».

Il montrait une queue qui se dirigeait vers un comptoir ou un médecin fournissait les médicaments à avaler avant de déjeuner.

« Je n’ai pas besoin de ces médicaments, je ne suis pas fou, ceci est fait pour les fous ».

Quelques têtes se levèrent vers moi, ainsi que Miss Jedusor qui était déjà dans la file. Reddino s’avança d’un pas précipité :

« Tu vas prendre tes médicaments comme tout le monde, ici ce n’est pas que les fous qui sont internés, les malades aussi. Surtout des malades dans ton genre ».

Il me prit par le bras, et me traina dans la file. Petit a petit je m’avançais vers le comptoir, et le médecin en donnant mes cachets, dit :

« Bonjour je suis Webmen, si vous avez quelques soucis de santé, ma salle d’examen se trouve juste à gauche du comptoir, vous pouvez venir accompagner d’un gardien ».

Je pris mes cachets et les avala sans faire d’histoires, et prit mon petit déjeuner.

Assis seul a ma table, un chevelure blonde me rejoignit :

« Salut, tu as bien dormi ? » disait Maellyss en m’esquissant un grand sourire.
« Oui, j’étais tellement fatigué par tout ce qui est arrivé hier, que je n’ai pas pris le repas du soir, je sais même pas si je vais être puni »
« Non, c’est le premier jour, on est nouveau, tu vas être pardonné ».

Et elle croqua une bouchée dans son toast plein de miel. Je voulais la croire, mais je ne pouvais pas, j’avais toujours cette peur qui me hantait. Je croquais a mon tour dans une tartine de beurre, qui a vrai dire, avait plutot un gout répugnant, on aurait dit du vieux pain moisi.

Mais je mangeai quand meme, car il n'y avait de toute facon que ça. Je levais mes yeux en direction de Maellyss, et je vis qu'elle fixait quelque chose. Enfin quelque chose plutot quelqu'un, je regardai dans sa direction, et je vis avec elle, Lerrone le garcon etrange qui répétait des choses incongrues.

"Tu le connais vraiment pas?" lui demandai je.
"Non, vraiment pas, mais j'ai entendu certains choses sur lui, des gardes parlaient de lui".
"Ah bon? Et c'est quoi?"
"J'ai pas tout compris, mais la seule chose qui m'a paru audible, c'est qu'il croit et veut se transformer en quelque chose, mais impossible de savoir quoi? Mais je compte bien le savoir."

Et elle se leva brusquement et partit dans sa direction. A partir de la, elle ne se souciait plus de moi, et de meme pour moi, mais en tout cas, Lerrone n'avait pas l'air méchant, puisqu'il a l'avait laissé s'asseoir a coté de lui.

Je continuais a prendre mon petit déjeuner tranquillement, je ne savais même pas comment se passe les journées ici, ce qu'on va faire et tout ca.

Quelqu'un s'approcha de moi, je levais ma tête et fit un bond sur ma chaise, c'était Miss Jedusor qui me regarda d'un air inquiétant a me faire frémir. Je balbutiai:

"Que... Que veux tu?"

"Oh rien, tu dis que tu n'es pas fou, alors que moi apparement je le suis, mais je suis sur qu'au fond de toi, tu es comme tout le monde ici, aussi fou que moi" et elle approcha sa tête de moi, et me regardait comme si elle allait me dévorer.

Et la elle partit au milieu de la pièce, et se mit a crier:

"OUI PARFAITEMENT QUI N'EST PAS FOU ICI, SI TOUT LE MONDE EST LA, C'EST QU'ON EST TOUS FOUS!!!!"

Reddino s'approcha:

"Du calme Miss Jedusor, c'est une cantine ici, pas une cour de recré"

Elle se mit a sourire de facon malsaine, et dit:

"Ah oui? C'est ce qu'on va voir."

Et elle prit une chaise et la jeta sur quelqu'un, et a partir de la, une émeute commenca, tout le monde se bagarraient, seul moi, Lerrone et Maellyss, ne se souciaient pas du désordre. Maellyss et Lerrone restait imperturbable, tandis que moi j'étais pétrifié. Des fourchettes, couteaux et autres ustensiles volaient de partout, et soudain dans l'amas de monde qu'il y avait, je vis une silhouette s'écrouler.

Une voix forte s'écria:
"STOOOOPPP!!!!"

Et la d'un coup le silence revint, Reddino s'approcha, un de ses collègues avait une fourchette planté dans le cou, il se tourna vers Miss Jedusor, celle ci le visage en sang, souriant a pleine dent, en train de ravaler le sang qui lui coulait sur les lèvres.

"Toi, regarde ce que tu as fait, c'est toi qui a bléssé ce gardien"

Et sans laisser le temps de lui répondre, Reddino empara Miss Jedusor violemment par les cheveux et l'emmenait hors de la cantine. Mais ils ne partirent pas en direction du bureau de la directrice, ils s'avancèrent vers une porte noire, avec des barreaux, cela devait ressembler a un cachot, je collai le nez contre la fenêtre, pour essayer de voir ce qui allait se passer. Mais rien. Reddino et Miss Jedusor étaient rentrés et on ne vit pas ce qui s'était passé.
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